Gravure ancienne montrant l'entrée d'un terrier.

Dans la catiche

La face mal cachée de la Loutre


Bloguidien 72 : Évidences exceptées (clés, portefeuille, téléphone, etc) y a-t-il un objet dans ton sac de tous les jours que tu transportes toujours ?

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Mon sac est globalement vide. Je n’aime pas trimballer un tas de trucs, c’est encombrant et lourd, donc je mets le minimum. Les papiers, le tel, les trucs habituels en somme. Cela dit, je prends de toute façon rarement mon sac… En général je sors sans rien, à part mon tel dans une poche, en mode nez au vent. C’est le chéri qui doit donc se coltiner sa sacoche (Il est victimisé).

Mais bref, en plus de ça j’ai aussi toujours un paquet d’antidouleurs en cas de migraine soudaine, même si comme j’en ai déjà parlé, ça va mieux sur ce plan. Enfin bon, j’imagine que ça tombe dans la catégorie des évidences, les médocs dont on a besoin ou dont on risque d’avoir besoin.

Cela dit, il y a trois choses un peu moins classiques qui me suivent partout:

  • Un stimtoy (ceux que j’avais fait en acier inoxydable avec une menotte), parce que j’ai besoin d’en avoir un peu partout autour de moi. De toute évidence, un bracelet et un collier ne suffisent pas, c’est comme ça.
  • Un poing américain, même si avec mes petits bras tout faibles je ne vois pas bien ce que je pourrais en faire. Mais il est super discret, pour éviter d’inquiéter les forces de l’ordre (ACAB bien évidemment).
  • Un kit de crochetage de serrures. On ne sait jamais quand on va faire une connerie et fermer une porte qu’il ne fallait pas fermer, donc autant sortir avec mon petit nécessaire. Lui, il peut également inquiéter les forces de l’ordre mais je ne m’en sers jamais, il est vraiment là en cas de besoin. D’ailleurs, pourquoi c’est aussi apaisant de crocheter des serrures ? Je pourrais faire ça toute la journée, sérieux.

Ponctuellement, si je prévois une longue attente, je vais ajouter un livre ou un projet de tricot en cours. Je ne sais pas rester réellement inoccupée, même quand je reste amorphe devant un film je m’occupe les mains, c’est chronique.

Voilà, rien de bien extraordinaire ! En même temps, si je sortais de chez moi plus souvent, la réponse serait peut-être un peu différente…



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